Notre équipe vient de trouver ce papier sur la thématique « la justice ». Avec régal nous vous en révélons le principal ci-dessous.
Le titre suggestif (Pétanque. L’International d’Espalion récusé : vers recours auprès du tribunal Administratif) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu.
Il n’y a aucune raison de ne pas croire de la fiabilité de ces infos.
Texte :
À ce moment-là, l’organisateur en premier, le président du comité de l’Aveyron, Marc Nogaret, en deuxième et les centaines de joueuses et joueurs français et étrangers fidèles d’Espalion en troisième étaient loin d’imaginer que ce qui confinait à un légitime rappel à l’ordre allait se concrétiser en un implacable rejet pour une épreuve classée dans le Top 5 des plus beaux concours de la planète pétanque.
Sanction disproportionnée
« La sanction est disproportionnée, renchérit son fondateur. C’est comme si l’on condamnait à mort un gamin ayant volé une pomme… La position est surprenante de la part d’une fédération dont l’essence même est de promouvoir son sport »
C’est ce que Robert Costes n’a pas manqué d’expliquer au téléphone à Michel Le Bot. Pour quelle réponse ? « Il a compris ma position, mais m’a expliqué qu’il ne pouvait s’opposer à une décision de son comité directeur, notamment au nom du principe de l’équité ».
Deux régions sont, en effet, concernées par cette décision : l’Occitanie pour, outre Espalion, les Nationaux de Carcassonne, Montpellier, Auch et Saint-Juéry, et Paca. Sauf que si les dirigeants du comité régional d’Occitanie ont apporté leur validation indispensable aux dossiers concernés, tel n’est pas le cas de leurs homologues azuréens et provençaux.
D’où le motif de l’équité invoqué par le président de la fédération française.
Est-ce à dire que, quelques années après avoir perdu ce monument qu’était le Mondial de Millau, l’Aveyron va-t-il devoir se passer (l’espace d’une seule année ?) de son nouveau fleuron ? On n’en est pas encore là. L’issue, pour l’instant de Robert Costes, est de contacter le député mais aussi avocat Stéphane Mazars afin d’obtenir des conseils en vue d’engager, dans un délai d’un mois, un recours auprès du tribunal Administratif.
Bibliographie :
De la justice dans la Révolution et dans l’Église/Prologue,Ouvrage .
Justice pour la République,Le livre . Disponible dans toutes les bonnes librairies.
Responsabilité des avocats : civile, disciplinaire, pénale,Le livre .