Ne manquez pas cela : « On est dans un principe de loterie humaine insoutenable », déplore un avocat de familles d’otages

Cet éditorial ayant pour thème « la justice » circule sur le web, nous avons projeté de vous le livrer plus bas.

Le titre troublant (« On est dans un principe de loterie humaine insoutenable », déplore un avocat de familles d’otages) est sans ambiguïté.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu pour d’autres articles qu’il a publiés sur le web.

La fiabilité est de ce fait majeure en ce qui concerne cet encart.

La date de publication est 2023-11-22 23:19:00.


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La libération des 50 otages négociée entre Israël et le Hamas n’interviendra pas avant vendredi 24 novembre. Parmi les 240 otages retenus à Gaza, huit sont des Français. L’attente pour leurs familles tourne à la torture psychologique, estime un avocat.

« On est dans un principe de loterie humaine insoutenable« , déplore jeudi 23 novembre sur franceinfo Patrick Klugman, avocat de quatre familles d’otages franco-israéliens. La libération de 50 otages sur les 240 recensés depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, a été négociée entre le Hamas et Israël et n’aura pas lieu avant vendredi.

L’avocat évoque « une loterie d’enfants et de personnes vulnérables« , sauf que « nous ne savons pas qui est vivant et qui est mort, regrette Patrick Klugman. Sur ce total de 240, vous avez des nourrissons, vous avez des personnes âgées, vous avez des personnes particulièrement vulnérables, malades. On ne sait pas qui est vivant, qui est mort, qui sera libre et qui ne sera pas libre.

« Les familles, à qui on promet des libérations partielles au compte-gouttes, sont au supplice. »

Patrick Klugman, avocat de quatre familles d’otages franco-israéliens

sur franceinfo

Il rappelle que les familles des otages n’ont aucune information sur les personnes concernées par cet accord. Seuls « les critères sont connus : ce sont prioritairement des femmes, des femmes âgées, des mères et des enfants.« 

Patrick Klugman évoque ensuite son rôle, en tant qu’avocat de familles d’otages : « C’est de rappeler que nous sommes face à une action criminelle. L’enlèvement d’otages, c’est un acte de guerre, c’est un acte criminel au regard de tout le droit : international, humanitaire et évidemment le droit national. » Il ajoute que « même la libération, au sens du droit, ne fait pas cesser la responsabilité criminelle.« 

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