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La date de publication est 2022-08-03 00:01:00.
Texte d’origine :
Me Alexandre Martin, l’un des trois avocats de Cédric Jubillar, estime que la révélation d’une nouvelle expertise des lunettes n’apporte pas d’élément probant aux investigations.
Les résultats de l’expertise des lunettes cassées de Delphine Jubillar, demandée par les enquêteurs menant les investigations autour de la disparition de l’infirmière tarnaise depuis le 15 décembre 2020, ont livré leur verdict lundi 1er août. Elle indique que l’ADN de Delphine, mélangé à celui de son mari Cédric Jubillar, était présent sur les montures. Une information qui tendrait à écarter l’intervention d’une troisième personne, piste brandie par la défense du mari, toujours soupçonné du meurtre de son épouse et incarcéré depuis juin 2021.
L’ADN pourrait provenir des enfants du couple
Mais cette nouvelle expertise « ne démontre rien », selon Me Alexandre Martin, l’un des trois avocats de Cédric Jubillar, interrogé par La Dépêche. Si des traces ADN du peintre plaquiste, mélangées à celles de son épouse, ont bien été relevées en faible quantité sur cet accessoire de vue, les experts n’excluent pas que ces traces puissent aussi provenir « des enfants du couple Jubillar ». C’est en tout cas ce que précisent les auteurs de l’expertise dans une note en bas de page de leurs conclusions.
Ces lunettes qui étaient déjà cassées avant la disparition de l’infirmière, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines, ont été saisies le 24 décembre dans la maison familiale.
Une autre expertise, menée cette fois sur le téléphone de la jeune femme, a confirmé qu’une action humaine avait été nécessaire pour « déverrouiller » cet appareil à six reprises entre 0h07 et 6h52 dans la nuit du 15 au 16 décembre, comme l’avait déjà indiqué La Dépêche en avril. Par ailleurs, une notification de Google, »inhabituellement sans information », a été envoyée à ce téléphone à 6h54.
Parutions:
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