Dernière actualité pour les passionnés : La justice donne son feu vert pour l’extradition d’Edgardo Greco, pizzaïolo mafieux

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L’article a été publié à une date indiquée 2023-04-27 08:16:00.

Voilà lle texte dont il s’agit :

En cavale depuis seize ans, Edgardo Greco, membre présumé de la mafia calabraise, sera-t-il renvoyé dans son pays ? La justice française a rendu ce jeudi un avis favorable à son extradition, comme l’avaient demandé les autorités italiennes.

Condamné en 2006 à la réclusion criminelle à perpétuité pour des meurtres commis en 1991, l’homme s’était réfugié à Saint-Etienne, où il avait entamé une nouvelle vie en ouvrant une pizzeria sous la couverture de Paolo Dimitrio.

Joint par l’AFP, David Metaxas, le nouvel avocat d’Edgardo Greco a annoncé qu’il formait « immédiatement un pourvoi en cassation ». « S’il va en Italie il est mort judiciairement et physiquement. Emprisonné là-bas, il n’en sortira pas vivant, a-t-il justifié. Notre but est qu’il puisse être rejugé en France ». Pour cela, l’avocat a indiqué qu’il allait « écrire en ce sens à la Première ministre » Elisabeth Borne.

La cour d’appel de Lyon avait refusé de l’extrader

Le 30 mars dernier, lors de l’audience devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon, Me Benoît Courtin, précédent avocat du fugitif, avait plaidé en faveur d’un « avis défavorable » de la cour d’appel à cette demande, pour « non-respect de la procédure ». La demande d’extradition avait été déposée fin février, après l’interpellation de l’homme de 63 ans.

Edgardo Greco a été arrêté par la police française grâce à un partage d’informations avec les carabiniers italiens, dans le cadre du projet I-Can (Coopération Interpol contre la ‘Ndrangheta). Le 16 février, la cour d’appel de Lyon avait refusé la remise en liberté de cet homme, qualifié de « dangereux » par Interpol.

Mais elle avait aussi refusé son extradition, en invoquant un « obstacle juridique » à sa remise à l’Italie : l’Italien, écroué dans une prison de la région, « aurait dû être interpellé sur la base d’une demande d’extradition de la part des autorités italiennes et pas dans le cadre d’un mandat d’arrêt européen », selon la cour d’appel.

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